Michael Frederic ouvre à 18,000 et Sorel Mizzi fait tapis pour 137,000 en position. L'action vient à la grosse blinde Javier Garcia qui réfléchit. Après une longue pause, il prépare sa pile de jetons et paye. Frederic hésite également mais passe. Mizzi joue son tournoi.
Mizzi:
Frederic:
"Good game," dit Mizzi, debout devant sa chaise. Et le board est en sa faveur. Il est de retour à 310,000.
Il semble que la tentative de Marafioti pour passer le nombre de places payées de 8 à 12 ait échoué. Le staff ne veut pas autoriser le changement de la structure après son annonce. Si tous les joueurs restants veulent redistribuer les gains à leur façon, ils peuvent le faire mais ce n'est pas une décision officielle.
Marafioti abandonne. "J'ai fini de me plaindre. J'ai déjà demandé cinq fois". Huit joueurs seront payés pour ce High Roller, un point c'est tout.
Luke Schwartz mise 18,000 et Markus Golser relance à 52,000. Schwartz demande à Golser combien il a dans son tapis et il lui répond qu'ils ont un peu près le même stack. Schwartz esnuite fait all-in et il est tout de suite payé par Golser. Schwartz retourne ses cartes et dit "F***."
Schwartz:
Golser:
Quand le flop tombe, renverse une pile de jetons.
Le sort au turn et Schwartz dit :"Bien, ça fait plus d'outs." Et bien sûr, le tombe à la river et Schwartz touche une quinte.
Golser et Schwartz avaient autant de jetons, donc Golser fait sa sortie.
Chad Brown pousse son tapis avec et il trouve un adversaire en la personne du chip leader, Olivier Busquet. Brown doit faire face à .
Board: .
Le membre de la Team PokerStars Pro Chad Brown est éliminé à la 14e place. Comme toujours, le très sympathique Brown serre la main de tous les joueurs à la table, leur dit que c'était un plaisir de jouer avec eux et leur souhaite bonne chance.
Matt Marafioti se plaint de la structure des gains depuis la minute où elle a été annoncée. Avec 113 joueurs au départ, cet événement (high roller) ne récompense que les 8 premiers comme dans tous les EPT standard. Mais Marafioti n'est pas impressionné.
Nous entendons son mécontentement sur les gains depuis plusieurs jours maintenant, pratiquement à chaque pause. Juste avant le dîner, il cherchait une nouvelle fois Neil Johnson, le directeur de l'EPT. "Mais où est ce type?" dit Marafioti en passant sa tête dans la salle. "Nous avons la table finale du Main Event, les deux dernières tables dans le High Roller et on ne l'a pas vu depuis des jours."
Il semble que les deux aient réussi à se trouver. En revenant de la pause, Marafioti sonde sa table pour savoir s'ils sont d'accord ou pas pour passer le nombre de places payées à 12. Neil Johnson semble avoir proposé une nouvelle décomposition du prize pool, et les discussions sont toujours en cours. Le seul potentiel obstacle maintenant est le chip leader Olivier Busquet qui va jeter un oeil attentif à la nouvelle structure avant de l'approuver. Et on ne peut pas le blâmer. Busquet a environ 900,000 jetons soit plus de 100 grosses blindes. Il y a potentiellement 1 million d'euros en jeu dans sa position.
Nous vous annoncerons ce que les joueurs ont décidé.