Premier à parler, Ercan Atmaca a simplement limpé à 800 jetons. Mais il s'est fait relancer tout de suite à sa gauche par Thierry Delpui à 2 500 jetons.
Derrière lui, Thomas Channell a payé, comme le joueur au cutoff et comme Ibrahim Senoussi au bouton. Les blindes ont passé ensuite, et Atmaca a complété pour terminer le tour d'enchères préflop.
Sur , ça a checké deux fois jusqu'à Channell, qui a misé 4 500 jetons. Tout le reste a passé jusqu'à Atmaca qui a relancé à 16 000 jetons. Mais les deux larrons se sont fait rappeler à l'ordre par Delpui, qui a fait tapis par dessus pour environ 100 000 jetons. Résultat des courses : ses deux adversaires ont passé, permettant au Français de passer à 150 000 jetons.
La barre des 700 joueurs a été dépassée sur le dernier niveau. L'écran affiche donc 718 entrées à l'heure actuelle, avec 534 joueurs toujours en lice qui viennent de partir en pause pour 20 minutes.
Sur un open en début de parole à 1 200 de Jozsef Dobos, Mustapha Amaouche s'est retrouvé à défendre sa grosse blinde pour voir arriver un flop qu'il a checké.
Sur ces trios premières cartes, il laissé miser Dobos 2 000 jetons. Mais ce n'était que pour mieux le check-raise à 4 600 jetons. En face, le Hongrois ne s'est pas laissé impressionné, et il a payé pour trouver une turn . Là, "Mouss" a gardé le lead en avançant 8 000 jetons, et il s'est fait payé encore.
Mais à la river , quand il a rajouté une troisième sacoche à 18 000 jetons, il s'est fait snap-call par Dobos. "Queen High", devait alors concéder Amaouche en retournant , tandis que Dobos montrait la meilleure main avec .
Table 26, Stephan Olofsson s'est lancé dans un limp under the gun. Et il a été imité par Xavier Sitruk deux sièges à sa gauche, puis par Michele Perego au cutoff.
Au bouton, Tjenno Eskes ne s'est pas laissé faire et il a isolé tout ça en misant 3 700 jetons. De quoi ne garder que Sitruk et Perego dans le coup.
Sur , le Neerlandais a c-bet à 4 500, et seul Sitruk a poursuivi l'aventure avec lui sur la turn . L'action a ralenti ensuite, avec des checks de part et d'autre sur cette deuxième street, et même chose sur la river . Mais ces checks n'étaient que pour laisser son adversaire miser et l'attraper de la part de Sitruk, qui a montré à l'abattage.