Sorel Mizzi est connu pour son style agressif, mais hors de position dans cette main, il préfère laisser son adversaire mener l'action.
Mizzi check-call une mise de 2,025 sur le flop et encore 6,025 sur le turn. La river est un que Mizzi check à nouveau, cette fois son adversaire préfère checker aussi avec qui ne s'est pas amélioré. Mizzi retoune satisfait d'avoir laissé son adversaire bluffer.
Dans des circonstances similaires à celles d'Arnaud Mattern tout à l'heure, le Floor a été appelé à la table de Vikash Dhorasoo. Il check-call sur le turn et le river n'apporte aucune action. Son opposant, Thomas Laumer jette ses cartes au muck et laisse le pot à Dhorasoo – mais à nouveau il a demandé à ce que soit respectée la règle officielle. Son adversaire doit retourner sa main avant qu'il fasse voir la sienne. Et il montre qui provoquent quelques rires autour de la table.
Dans ce niveau qui a vu s'échanger les jetons, le pot le plus étrange est sans doute ce lui entre Antony Lellouche qui mise 2000 face à Eetu Halonen sur la turn du board . Il est suivi. La river est le et, alors que Lellouche check, Halonen envoie all-in pour 40.000. j'ai regardais le pot à deux fois, et oui, il était bien de 5000. Lellouche passe avec un sourire.
Nicolas Babel a bien profité de ce niveau de blinds et le termine en prenant un pot de 15.000 à Vikash Dharasoo. Babel fait un gros bet de 10.500 sur l'As river du board . Dharasoo passe un momment dans le tank avabt de suivre. Babel retourne , Dharasoo jette ses cartes au muck. Babel bondit à plus de 120,000.
Fabrice Tuil est le nouveau chipleader avec un stack de 137,000. Mais il vient de perdre pot à l'instant.
[Removed:13] mise 1,000 sur le lfop , Tuil relance à 3,000 et Reynald Zrnjevic call. Guiglini passe et la sort sur la turn. Tuil check-call une mise de 4,500 par Zrnjevic avant que les deux joueurs checkent le river.
Tuil retourne qui n'est pas assez pour battre Zrnjevic avec .
Cristiano Blanco, dont le stack était très réduit, se retrouve all-in pré-flop avec , mais se retrouve face aux de Jimmy Ostensson et il rejoint le rail.
Sur une autre table, Julien di Pace avec ne parvient pas à s'améliorer contre pour Sergii Baranov. Le board hauteur 9 n'apporte aucun tirage et offre à di Pace stack plus confortable.
Une river étrange alors que Jimmy Ostensson est face à un gros bet de 10.000 sur le board . C'est Jerome Zerbib, qui termine l'an dernier à la seconde place qui a misé. Attend qu'Ostensson prenne une décision – et finit par suivre contrarié d'investir une grosse fraction de son tapis.
"As.." dit Zerbib, mais Ostensson retourne et Zerbib jette soudain ses cartes au muck !
Cela intéresse un joueur de la table qui demande : "Que se passe-t-il s'il jette la main la main gagnante quand tu dis avoir un As ?" Cela ne dérange pas Ostensson qui ramasse le pot.
Arnaud Mattern nous raconte la sortie de Shane Schleger qui 4-bet all-in preflop avec . Il est payé très rapidement par un adversaire avec . Le flop X et la turn offrent plusieurs tirages mais Schleger n'en touche aucun sur la river.
Egalement éliminé, le champion de l'EPT Snowfest Allan Baekke qui a eu un petit stack toute la journée.
Incroyable downswing pour Willy Korchia qui est passé de près de 90.000 jetons, soit un des plus gros tapis du tournoi, à... rien du tout en l'espace de 3 mains!
Premier coup dur, il envoie 8000 jetons avec As-10 sur un flop 3-9-10 et se retrouve suivi par un joueur qui avait suivi la même mise préflop. Korchia remet 8000 sur une brique au tournant avec sa top pair-top kicker et voit son adversaire le sur-relancer à 25.000 (tapis). Korchia suit et se voit opposé à 8-9.... Rivière.... 8 !
Deuxième revers, Korchia trouve une paire de Dames servie, deux joueurs 'limp' à 1.000 et il sur-relance à 5.000. Un joueur paie et le flop amène 3-6-7. Check du joueur adverse, Korchia met 8.000 et encore une fois se voit sur-relancer à 25.000. Korchia paie et cette fois se retrouve face à 4-5!
Le dernier coup, fatal celui-ci, se joue la main juste après! Willy Korchia nous le raconte en version courte : "J'ai quatre femmes collées!", traduisez deux paires de Dames consécutives... et cette fois : "Je me retrouve face aux Rois!"
Dure descente aux enfers pour Willy Korchia qui sort donc du tournoi sonné comme un boxeur qui aurait mené au point jusqu'aux dernières secondes avant de se prendre une droite, une gauche et un uppercut avant de finir au tapis!