Après un heads-up assez long, c'est donc Jake Cody, le joueur britannique de 21 ans, qui remporte l'EPT de Deauville 2010.
Cinq journées d’une dure bataille, une table finale qui aura retenu le souffle de tous les spectateurs, et un vainqueur qui remporte la somme colossale de 847 000€, ce tournoi aura tenu toutes ses promesses.
Il faut retenir que cet EPT a connu un franc succès. Il s’agit en effet du plus grand EPT de Deauville de l’histoire. 768 participants, c’est assez impressionnant. On retiendra les noms de Stephane Albertini, qui a terminé premier Français, et Alexia Portal, première Française.
Pour la meilleure performance hexagonale, on notera la « malheureuse » deuxième place d’Anthony Lelllouche dans le High Roller qui lui rapporte quand même la somme de 150 000€.
Une petite déception quand même pour la France qui n’a pas réussi à placer un seul représentant dans le top 5 malgré 85% de Français au départ des deux Day 1. Il y a tout de même 4 joueurs locaux placés dans le top 10. (6ème – Albertini, 7ème – Micheal Fratty, 9ème – Bertrand « Elky » Grospellier et 10ème – Alexia Portal.)
Une petite pensée pour le « Bubble Boy » de cet EPT, Daniel Millar qui a vu son tournoi s’arrêter à la 105ème place, à la porte des places payées.
Voilà donc un beau finish, ponctuant un EPT réussi qui, on n’en doute pas, reviendra l’année prochaine pour battre encore une fois le record d’affluence. Nous tenons à remercier toutes les personnes qui ont suivi le coverage tout au long de ce tournoi et nous espérons avoir autant de succès dans les prochains tournois couverts par Pokernews.
Après un petite pause plus que suspecte, les 2 joueurs sont revenus et on l'air plus détendu et plus enclin à sur-relancer. Il n'est pas interdit de supposer qu'un accord ait été conclu entre les 2 finalistes. Il faut dire qu'avec une différence de plus de 300 000 euros entre la première place et la 2ème, un petit arrangement à la miable semble tout à fait plausible. Ce serait assez compréhensible pour deux garçons âgés d'une vingtaine d'années.