Un call très bizarre a permis à Lohoczky de se doubler. Son adversaire le relance et Lohoczky pousse ton tapis. Idéal pour quelqu'un qui a . Son adversaire ressassant la situation décidait qu'il avait la cote pour suivre. Cela représentait quasiment la totalité de son tapis et il montrait un franchement pas beau .
Board: un flop quelque peu excitant mais vide au bout du compte.
Le jeune Tristan Clemencon est à 270.000 grâce à un jeu solide tout au long de la journée. Troisième à l'EPT Deauville cette année, et avec plusieurs bons résultats ces deux dernières année, c'est l'homme à suivre dans cette deuxième moitié du Day 2, sans aucun doute.
A few other counts:
Isabelle Mercier - 90,000
Dag Martin Mikkelsen - 108,000
Boris Becker - 85,000
Michael Greco - 150,000
Les joueurs aux tables 1 à 15 sont de retour de la pause dîner et prennent place. Ils jouent maintenant le niveau 13 que les joueurs des tables 16 et plus ont déjà passé. Ceux-ci ont maintenant droit à leur pause-dîner.
Diminuant désespérément, John Tabatabai ne semblait pas du tout perturbé par son tapis de 28.000. Apparaissant détendu pendant ces deux jours, il effectuait une relance à 16.000 sur la mise de 6.000 de Joe Hachem au cut-off. En une fraction de seconde, on pouvait entendre un "All in/call".
"une overcard?" suppliait Tabatabai qui montrait . Non, Hachem dévoilait .
Flop:
"Oh, ne t'inquiète pas, je vais y arrivé" commentait calmement Tabatabai.
Turn:
River:
"Oh, j'y suis arrivé" Cette fois-ci, c'est vrai. Cette suite lui permet de se doubler et de retourner plus confortablement dans le jeu.
Sur l'une des tables, c'est Alexander Kravchenko qui retournait une paire de rois après avoir suivit au turn et à la river sur un board hauteur valet contre un unique adversaire montrant avec une paire de valet. Les rois tenant jusqu'à la river Kravchenko a amassé assez de jetons pour se hisser à 105.000.
Quelques tables plus loin, Liya Gerasimova partait à tapis avec face à . Elle secouait la tête amèrement lorsque le flop apportait , le turn dévoilait une déclenchant le murmure général de l'assemblée. La river n'apportant rien, Gerasimova se doublait pour un total d'environ 85.000.
Bien qu'étant descendu à 75.000, Lance Funston semble prendre de plus en plus de bon temps. Parlant à qui voudra l'écouter, et malgré de gros écouteurs métalliques, quelques joueurs sourient contre leur gré alors qu'il entende le monologue de Funston décrivant tout ce qu'il fait.
Un exemple, Il suit pré-flop. "Il y a tellement de choses pré-flop, les antes, les blinds, faisons les choses en voisins, si on se faisait un family pot là?" Lui et la grosse blind checkaient jusqu'au bout, le board affichant . Avant même que la grosse ne puis agir ou parler il continuait "Je pourrais montrer ma main et gagner, mais à la place je vais coucher et laisser ce gentleman remporte le pot."
Le gentleman en question de demander: "Et si j'avais deux et trois?"
"Dans ce cas tu gagnes!"
Une confrontation entre américains a vu Jason Mercier miser 9.600 sur le turn d'un board , suivi par Phil Laak.
River:
La river apportant des possibilités de quinte et couleur, Mercier décidait de checker. Laak misait alors 16.900. Mercier enlevait ses lunettes et se tortillait pendant une bonne minute avant de coucher, mettant les deux joueurs à peu près à niveau.
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. Chipleader à la fin du jour 1b, les choses ne sont pas aussi faciles aujourd'hui. Barer essayait d'ouvrir un pot en relançant à 5.500 au cut-off. Michael Tureniec demandait à Barer combien il lui restait derrière (environ 90.000) et relançait à 17.200.
En grosse blind, Ted Lawson à la traine toute la journée avec 40.000, semblait peiné, ne sachant trop quoi faire. Finalement il couchait après trente secondes.
"Combien as-tu ?" Demandait Barer à Lawson.
"Quelles différence ça fait?" répliquait un Lawson irrité.
Barer se tournait vers le croupier : "N'ai-je pas le droit de lui demander ça?"
"Quelle différence ça fait?" répétait Lawson. "Je ne suis pas dans la main!".
"En fait, ça fait vraiment une différence." lui dit Barer.
"Vraiment?" demandait Lawson, amèrement. "Alors voila." Il soulevait ses mains pour pousser ses jetons en direction de Barer afin qu'il puisse les observer. Satisfait, Barer couchait.
Joao Barbosa, vainqueur de l'EPT Warsaw, partait à tapis au cut-off, suivit par le gros tapis de Vadim Shlez au bouton. Barbosa semblait déjà vaincu à la vue de son regard. Tout les autres joueurs couchaient. Oh mon dieu.
Barbosa:
Shlez:
Board:
"Wow, c'est tout?" demandait un souriant Shlez, admiratif de son carré d'as. Barbosa s'était quant à lui levé et avait déjà quitté les lieux sur le full de Shlez. Nous ne sommes même pas sûr qu'il ait vu le quatrième as.
Après cette main, il semble que Shlez, de New-York, soit notre nouveau chipleader avec environ 400.000. Son nom et son accent tendent à prouver qu'il est originaire d'ailleurs.
Après avoir construit un pot de 50.000 en tête à tête sur un flop . Après un check de son adversaire, Akari misait, l'action résultant en un all-in de Zakari pour 28.400. "As-tu As Roi?" demandait son adversaire avant de jeter l'éponge, et sa main.