Alex Todd trouve sa carte, floppant un brelan avec contre les d'Andrew Pantling. Il n'avait pas un très gros tapis mais le plus gros morceau est parti au milieu dès le flop . Et même si la du turn a amené un tirage couleur, le de la rivière s'est chargé de définitivement rassurer Pantling, qui s'est du coup levé et a évacué la pression d'un retentissant "One time, dealer!".
Ou que je tourne mon regard, durant la demi-heure écoulée, je n'ai vu que des mains qui se développaient jusqu'au turn, avant d'être brutalement stoppées par une carte qui rendait d'un coup les joueurs beaucoup moins curieux.
Par exemple, Dag Palovic avait misé 25.000 sur un flop et s'était fait caller, avant que son adversaire décide qu'il n'était pas très fan du qui venait d'apparaître au turn et ne couche sa main devant les 25.000 rajoutés par Palovic au pot.
Joe Hachem, pendant ce temps-là, a du compter ses jetons pour Gustavo Kein, qui se demandait quoi faire d'une mise de 17.000 de Hachem sur le tableau . Hachem s'est exécuté puis a attendu impassible, que son adversaire prenne une décision, qui s'est finalement avérée être: 'Je passe'.
Si la personne assise au siège 6 de la Table 31 porte toujours le merveilleux nom de Martial Blangenwitsch, sachez qu'il vient de perdre une bonne partie de son stack au profit de Sandra Naujoks.
Nous rejoignons le coup au turn, sur un board . Blangenwitsch mise 8.200 et fait face à une relance de 23.000 de la part de Naujoks. Avec un peu plus de 30.000 derrière, la décision est importante pour Blangenwitsch. Il y réfléchit d'ailleurs un bon bout de temps, les spectateurs en profitant pour se rapprocher de la table. Finalement, d'une tape sur le feutre, il s'avoue vaincu. Maintenant que le niveau 11 se termine et que les blindes vont grimper à 1.000/2.000, ça va devenir vraiment tendu pour le projet que couve Blangenwitsch.
Une nouvelle pause, la dernière avant la pause-dîner, qui devrait durer 90 minutes celle-là, et sera sans-doute étagée tant il reste encore de joueurs en course à ce stade du tournoi.
C'est un désastre pour le Chipleader de la veille, Ami Barer. Sur un board à la rivière, le voilà qui mise 19.000 et se fait relancer à 50.000 par Jean Paul "El Korsico" Pasqualini. Barer y réfléchit un moment puis calle avec et un full floppé -- mais Pasqualini a le modèle au-dessus avec et un full supérieur trouvé à la rivière qui le propulse à 220,000. "Fantastique" lâche Barer, alors redescendu à 96,500. Apparemment, i s'est déjà un peu refait, et navigue désormais aux alentours de 150.000.