Brent Wheeler suit à la small blind et Lukas Baumann check sa grosse blinde.
Le flop est ,Wheeler mise 28,000 et Baumann shove, all-in pourr 320,000. Wheeler call avec , contre Baumann avec . Le sur la turn laisse Wheeler en tête, mais la river est le et Baumann touche sa suite, il reste en vie avec 650,000.
Johannes Holstege ouvre à 42,000, Huub Verdonschot et all-in après lui. Holstege fold.
Sur la dernière main, Richard Toth relance Verdonschot shove encore. Cette fois il est suivi, les deux joueurs ont des stacks de tailles similaires.
Verdonschot:
Toth: domine avec
"Espérons voir Roi-Dix-Valet-As" commente Jonathan Schroer, "ainsi, il n'y aura personne d'éliminé" toujours très loquace.
Board:
Aussitôt que Verdonschot a floppé sa suite, Toth a quitté sa chaise et s'est écarté de la table. Quand il est revenu peu après serrer la main Verdonschot, il est informé que les choses ont changé. Son tapis était de 460,000 au départ de la main contre 449,000 pour Verdonschot.
Toth garde 9,000 jetons (dont 2,000 pour l'ante) avec lesquels il paye la grosse blind sans même regarder ses cartes jusqu'à ce que Jonathan Schroer relance.
Siège 1 - Marcel Koller
Siège 2 - Alexander Debus
Siège 3 - Johannes Strassmann
Siège 4 - Daniel van Kalkeren
Siège 5 - Luca Cainelli
Siège 6 - Allan Baekke
Siège 7 - Huub Verdonschot
Siège 8 - Robert Haigh
Table sans TV
Siège 1 - Maxim Lykov
Siège 2 - Russell Carson
Siège 3 - Brent Wheeler
Siège 4 - Alain Medesan
Siège 5 - Lukas Baumann
Siège 6 - Jonathan Schroer
Siège 7 - Florian Döhnert
Siège 8 - Johannes Holstege
Florian Döhnert shove pour 270,000 en début de parole et Brent "bdubs3737" Wheeler sur-relance all in au bouton. Les blinds passent et les cartes sont retournées :
Wheeler:
Döhnert:
Le flop est généreux . Il améliore les deux joueurs, mais Wheeler avec un set de Dix est devant. Sur la turn, le offre à Döhnert davantage de tirages quinte, mais le river n'en complète aucun. Döhnert touche un brelan qui ne suffit pas contre le full de Wheeler.
Florian Döhnert termine à la 16ème place tandis que Wheeler grimpe à 1.53 million.
Alexander Debus mise 45,000 en début de parole et est sur-relancé à 110,000 par Allan Baekke au cutoff. Debus 4-bet pour un total de 245,000. Baekke suit et le flop est .
Les deux joueurs checkent et la turn sort : , checké par Debus, mais misé par Baekke à 180 000. on the turn. Debus réfléchit quelques instants et jette ses cartes dans le muck. Baekke repasse à plus de 3 millions.
Jonathan Schroer ouvre à 51,000 en milieu de parole, Johannes Holstege 3-bet à 119,000 juste derrière lui. La parole revient à Schroer, qui passe plusieurs minutes dans le tank, assez longtemps pour que l'on demande la montre, pour la première fois aujourd'hui. Après quelues secondes supplémentaires Schroer va all pour 803,000 au total. Holstege, dans un haussement d'épaule : "Je dois suivre" . Il a près de 2 millions de jetons et peut éliminer Schroer sur cette main.
Showdown
Schroer:
Holstege:
Les deux hommes semblent contents de jouer un coin flip et se serrent la main en se souhaitant bonne chance. "Quoiqu'il arrive" dit Schroer, "Quoiqu'il arrive" répète Holstege.
Et voici ce s'est passé. Le board est , Schroer est certain de doubler quand il touche son full sur la turn. Il passe à 1.55 million tandis que Holstege chute à 1.22 million.
Il y a eu beaucoup d'action et il a été parfois difficile de tout suivre. Si vous avez besoin de vous rafraîchir la mémoire, voici un rappel des noms et le compte des jetons de cet EPT Snowfest 2010.
C'est le moment de la journée où l'on 3-bet (sur-relance) à tout va.
Sur la table non télévisée, Jonathan Schroer ouvre à 61,000 au cutoff. En big blind, Russell Carson sur-relance direct à 170,000. Schroer demande combien Carson a derrière lui avant de jeter ses cartes dans le muck.
Au même moment sur la table télévisée, Johannes Strassmann relance à 56,000 depuis le cutoff – la position préférée pour les relances on dirait. Au bouton, Daniel Van Kalkeren 3-bet à 140 000, gardant avec 400,000. Strassmann passe un long moment dans le tank avant de décider de jeter ses cartes.
Nous attendons avec impatience le moment où les 3-bets feront face à des 4-bets.