Ludovic Lacay élimine Gerald Aguinet après que ce dernier call all-in sur la river alors que le board affiche . Lacay retourne tandis qu'Aguinet jette ses cartes au muck dégoûté.
Pendant ce temps Fabrice Soulier élimine un joueur avec contre mais avec un gros suspens sur le board .
Il ne reste plus que quelques places avant que les joueurs ne soient "in the money".
David Sonelin a débuté cette journée en étant chipleader, mais il n'est plus qu'un gros stack parmi les autres à présent.
Il avait déjà jeté ses cartes quand nous sommes arrivés à la table, mais il ne pouvait battre le de Michael Fratty sur le board . Fratty s'est levé, le poing vers le ciel criant "NNNNHHHHH!!! pour avertir tout le monde de sa chance.
Guillaume de la Gorce, chipleader à la fin du Jour 1, met all-in juste avant l abulle avec et perd son coin flip, quittant le tounoi d'une manière cruelle.
Le flop affiche et le pot est assez petit quand Andrzej Nowak-Rogozinski (big blind) fait un gros bet. Fabrice Soulier (position tardive) fait alors une grosse relance. Nowak-Rogozinski paye, se retrouvant all in. Ils retournent leurs cartes.
Nowak-Rogozinski: raisonnable avec top pair, top kicker
Soulier: en bluff avec
Turn: donne à Soulier quelques outs
River: pour le plus grand soulagement de Nowak-Rogozinski. Il se lève de son siège pour exécuter une petit danse alors que son stack passe à 400,000. Il survie à la bulle avant la bulle.
"Tu as aimé la turn?" demande Soulier. Il retombe à un très confortable 560,000.
Adrien Allain est en bonne posture avec contre Sergey Kislinskiy avec . Mais le board fait de lui le "bubble-bubble boy". Il sort sans un mot, semblant écoeuré.
Avec 129 joueurs restants, nous jouons maitenant en main par main et la presse a été repoussée sur les bords extérieur de la salle.
Mathew Frankland risque une fois de plus sont tournoi pour réussir à doubler.
Sur le flop , l'action est checkée avant Frankland. Frankland mise 18,000 et son adversaire, qualifié sur Pokerstars.net Olivier Busquet check raise à 50,000. Frankland 4-bet, ajoutant 75,000 pour suivre, Busquet call.
La turn est le , à nouveau Busquet check et Frankland envoie all-in. Busquet call aussitôt et les deux joueurs retournent leurs cartes, montrant un set contre un set. Frankland avec les 9 domine Busquets avec les 5. Pas de 5 sur la river et Frankland double.
La confusion règne dans la dernière main avant le break de 15 minutes.
Hedi Salmi relance en début de parole et Michael Schurpf 3-bet au bouton. La small blind fold et Bruno Launais est au big blind mains couvre ses cartes de ses mains. Salmi annonce all-in, mais c'était au tour de Launais de parler. Il décide de payer Salmi, Schurpf passe et les deux joueurs retournent leur main. Quand Salmi a vu que Launais avait une paire de Rois contre sa paire de Dames, il s'est plaint, disant qu'il ignorait que Launais était encore dans le coup. Venue à la rescousse, le Tournament Director Thomas Kremser et la main a été jouée.
Pour remuer le couteau dans la plaie, Launais flop un full house et double. Salmi couvrait Launais, aussi la bulle n'a pas encore éclatée.
Quelques stacks extrêmement short tentent de survivre et deviennent de plus en plus short.
Vasilii Fursov ouvre pour 15,000, mais Kent Lundmark reraise en le couvrant depuis la small blind, Fursov fold et ne joue plus qu'avec 50,000 devant lui.
Sur la table d'à côté, Anthony Hnatow relance à 15,000 au bouton, provoquant une longue hésitation chez Robert Cohen au big blind. Il finit par flat-call, gardant un stack de 45,000. Cohen check le flop et Hnatow pousse all in en le couvrant. Cohen passe à nouveau un long moment à réfléchir puis finit par passer. Quand nous revenons à la table, Cohen est super-short stack avec un tapis de 7,5 big blinds.