Bruits de couloir : "one chip, one chair"
Or, je peux maintenant vous annoncer que ces bruits sont totalement infondés car la seule histoire qui m'a été racontée est celle d'un joueur qui s'est qualifié avant-hier à Trouville à la manière de Jack Strauss, le champion qui avait remporté le Main Event des WSOP en 1982 avec un seul jeton, le fameux "one chip, one chair" :
Le monsieur s'est en effet qualifié en faisant mentir toutes les probabilités : il ne lui restait plus que 200 jetons aux blindes 4.000/8.000, soit la moitié d'une ante !
Et il se prépare à son entrée demain dans le Day 1b en dominant outrageusement un sit&go qualificatif pour le Side Event à 2.000 euros. Il possède plus de la moitié des jetons en circulation à sa table et affiche présentement un sourire béat.
Bon, j'ai bien trouvé un autre français qui fumait dehors en ruminant ce coup où il a été éliminé à cause d'une couleur runner-runner à la rivière. Mais là, c'est VRAIMENT un bad beat, donc ça ne compte pas.