Jean-Pierre Petroli couvait ses quelques jetons restants depuis un certain temps déjà lorsqu'enfin l'occasion lui est donnée de se mettre à tapis. L'affaire semble mal engagée pourtant, avec sa pocket paire de dix dominée par la pocket paire de dames de son adversaire. Pas de souci : les deux premières cartes à tomber sont les deux dix restants !