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Poker ou bronzette, il faudra choisir.
Il reste moins d'une heure aux 250 compétiteurs attendus pour le jour 1B pour profiter de la plage ou de la piscine de leur hôtel, avant de prendre place dans la salle de jeu du Grand Hotel International.
Le tournoi devrait faire le plein, la majorité des joueurs ayant choisi d'entrer en lice aujourd'hui, alors que quelques joueurs inscrits hier sans s'être présentés seront automatiquement décalés.
Le jour 1B débutera à 14h, avec des blindes 25 - 50 pour des tapis de départ de 10.000. On jouera 10 niveaux.
En parallèle de l'épreuve principale, un ladies event proposé par Maria Poker se jouera à partir de 19h. 40 sièges sont réservées pour les joueuses (et peut-être pour quelques joueurs si le tournoi n'est pas complet!)
Contrairement à la journée d'ouverture, de nombreux visages familiers seront aperçus aux tables cet après-midi.
Sont attendus 3 pros de la Team Unibet France, à savoir Jean-Paul Pasqualini, Nicolas Dervaux et Samlane Phomveha, plus des joueurs français professionnels ou réguliers des cercles de jeux ou du circuit Unibet, comme les frères Da Silva.
Côté étrangers, le joueur le plus attendu est sans conteste le fantasque Finlandais Ilari 'Ziigmund' Sahamies, qui brasse des millions de dollars sur les plus grandes limites de cash game online. Ses apparitions en live sont rares, ce qui fait de lui la grande curiosité du tournoi.
La carte charme sera quant à elle jouée par l'actrice française Shirley Bousquet, et par Alizée Poulicek, miss Belgique 2008.
Autant de bonnes raisons de suivre le tournoi sur Pokernews!
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Jean-Paul Pasqualini sorti sur un bad beat
On promettait de l'action, mais on ne pensait pas voir un tel coup se dérouler dans les 5 premières minutes. Le tournoi vient de perdre un premier joueur, et non des moindres, puisqu'il s'agit tout simplement de Jean-Paul Pasqualini.
Pour son tout premier coup disputé, il relève en position de cut-off. Un joueur en début de parole mise 125, payé une première fois, et relancé à 300 par le hijack. El Korsico paie le 3 bet, mais la grosse blinde envoie 900 jetons, une mise qui fait coucher tout le monde sauf le Français, qui paie sec, fort de la position et d'une main à potentiel.
Le flop lui donne directement la couleur.
La grosse blinde mise 1.000 ; Jean-Paul réplique par une relance à 2.600. Son adversaire décide de partir à tapis. Après un peu de réflexion, el Korsico paie. Il fait face à et se trouve en excellente position pour doubler son tapis. Malheureusement, le tournant apporte un nouveau carreau, qui sonne le glas de ses espoirs.
Très gentleman, Jean-Paul revient sur sa sortie :
"je voyais clairement mon adversaire sur une overpaire contenant un carreau. Même si je savais qu'il avait des outs pour améliorer sa main, je devais payer puisque j'étais largement devant. La main précédente me laisse quelques regrets. Je suis arrivé à la table alors que la croupière était en train de distribuer les cartes. J'avais Dame Dix mais elle m'a informé que je ne pouvais pas jouer la main. Le flop m'aurait donné la quinte maximum. J'aurais probablement pris un gros pot qui m'aurait évité de sortir la main d'après".
Une vingtaine de Français sont engagés dans ce jour 1B.
Parmi eux, le joueur de la team Unibet France Nicolas Dervaux, qui tentera de faire mieux que ses infortunés collègues. 2 sièges avant lui, on repère un autre professionnel français, Gaetan Ancobard.
Samlane 'Sacre' Phomveha, 7e à l'Unibet Open de Londres en 2009, occupe une table habituellement réservée aux parties de cash game, en compagnie du Français Mehdi Boulenouar, et du redoutable professionnel suédois Mats Rahm, qui a manqué de peu la table finale à Budapest.
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la blonde Alizée Poulicek n'aura passé que 2 minutes à cette table
Comme souvent, plusieurs personnalités annoncées et pré-inscrites n'ont finalement pas fait le déplacement.
Tel est le cas de Ilari 'Ziigmund' Sahamies, dont l'absence n'est qu'une demi-surprise, mais une vraie déception.
Autre absente de marque, l'actrice française Shirley Bousquet, déjà annoncée mais invisible à Budapest.
En revanche, Alizée Poulicek, miss Belgique 2008, est bel et bien là, et suivie de près par les reporters du Plat-Pays. Les organisateurs ne lui réservent pourtant aucun traitement de faveur ; à peine déplacée à une table suite à une cassure, elle n'a pas eu le temps de jouer une seule main avant que celle-ci ne soit vidée à son tour.
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Richard Da Silva (au centre) assiste au "suicide" de son voisin, hilare après avoir envoyé son tapis avec Roi 5.
Pour les Da Silva, le poker est une affaire de famille. Les jumeaux Eric et Richard affectionnent particulièrement les Unibet Opens, et sont tous 2 en lice aujourd'hui. Ils ont eu l'occasion d'humer le parfum de la compétition en participant au tournoi d'Omaha hier soir, atteignant chacun les demi-finales. Richard a fini 14e, et Eric premier payé, en 8e position.
Richard est engagé dans un gros coup :
muni de , il relance en position under the gun, et se voit relancer au triple par un joueur aggressif situé à l'opposée de la table. Il paie.
Le flop vient . Richard rend la parole à son adversaire, qui mise un jeton de 1.000. C'est à nouveau payé.
Le tournant est un dangereux . Richard check encore, et se voit réclamer 3 jetons bleus supplémentaires. Il finit par jeter ses cartes en les montrant, gardant 8.000 jetons devant lui.
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Stéphane confronté à une décision difficile
Stéphane Froidefond, qualifié sur un freeroll Unibet, joue quasiment son premier coup en une heure et demie.
Alors que le joueur sous la gâchette mise 250, et se voit payer par 3 personnes, Stéphane découvre une paire de Valets en petite blinde. Il décide de placer une relance conséquente à 1.700. Le relanceur initial, visiblement confiant en sa main, rétorque par un "all in" assuré. Après une petite hésitation, Stéphane préfère jeter ses cartes, et attendre une meilleure opportunité de prendre des jetons.
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en position de cut-off. Un joueur en début de parole mise 125, payé une première fois, et relancé à 300 par le hijack. El Korsico paie le 3 bet, mais la grosse blinde envoie 900 jetons, une mise qui fait coucher tout le monde sauf le Français, qui paie sec, fort de la position et d'une main à potentiel.
lui donne directement la couleur.
et se trouve en excellente position pour doubler son tapis. Malheureusement, le tournant apporte un nouveau carreau, qui sonne le glas de ses espoirs.
, il relance en position under the gun, et se voit relancer au triple par un joueur aggressif situé à l'opposée de la table. Il paie.
. Richard rend la parole à son adversaire, qui mise un jeton de 1.000. C'est à nouveau payé.
. Richard check encore, et se voit réclamer 3 jetons bleus supplémentaires. Il finit par jeter ses cartes en les montrant, gardant 8.000 jetons devant lui.