Réduit à moins de 7.000, Davidi trouve les Rois. Casey Kastle et Thomas Bichon, respectivement UTG et UTG+1, paient juste la blinde et le belge du team Winamax relance à 750 en fin de parole. Seul Kastle reste dans le coup.
Sur un flop , Kastle checke, Davidi envoie 1.850 et son adversaire ne tergiverse pas longtemps : Il envoie 6.850, une mise suffisante pour mettre Davidi à tapis. Ce dernier paie bien entendu.
Etonnament, Kastle était en carnaval avec . La logique des cartes est respectée sur le turn et la rivière, qui affichent des briques, et Kitai repasse au-dessus des 15.000. On respire mieux avec 100 blindes.
Patrick Bruel est sans doute la personne la plus célèbre présente dans le bâtiment (France et dans le reste du monde) mais n'en semble pas moins à l'aise, constamment impliqué dans les mains de sa table. Il a perdu un gros pot au début de la journée mais a réussi à revenir à 40.000 ensuite. Il vient de perdre quelques jetons contre Olivier Chaignard qui check-raise un flop hauteur Valet, suffisant pour faire passer Bruel.
Cette table compte aussi Freddy Deeb et Isabelle Mercier, qui doit reconstruire son stack après un accident de parcours (elle a environ 14.000). Elle parvient à faire passer David Conforti en misant sur le flop .
Dominykas Karmazinas, qui termine 3ème de l'EPT Grand Final de Monte Carlo, se contente de payer la mise à 1.300 de Thomas Nielsen sur le turn du board . Nielsen mise alors 2,200 sur le river mais Karmazinas décide alors de sur-relancer à 8,000.
Nielsen soupire et retourne avant de les jeter. Karmazinas plaisante en criant : "Je suis à nouveau chipleader !"
Il n'a que 20,000 pour le moment, encore loin du chiplead.
Isabelle Mercier vient de se refaire de 10.000 jetons grâce à un 'call' plutôt risqué.
Avec une paire de Dames en main, elle mise 500 pré-flop et est relancée à 1.500 par le bouton. C'est payé. Le flop vient et entraine une routine similaire. Check de la québécoise, 1.500 par le bouton et Mercier égalise. Le turn apporte une doublette du Dix et la joueuse BetClic 'check-calle' cette fois une mise à 2.500. Mais les choses se gâtent sur le de la rivière, où elle fait face à une mise de 5.000. Isabelle paie pourtant assez rapidement, semblant exclure un As-Dix, les Rois ou les As de la range de son adversaire. Bien vu : ce sont les Valets qu'il retourne.
"Mais pourquoi tu mises ?" s'étonne Patrick Bruel, en s'adressant au bouton, qui est son voisin de gauche. "Si tu es payé, t'as perdu !" Puis, se tournant vers la canadienne : "Bien payé, Isabelle, c'était pas évident."
Mercier rosit sous le compliment et, joyeuse, empile ses jetons. Elle remonte à 27.000 sur ce coup.
Après les 106 inscrits d'hier, 141 joueurs supplémentaires sont venus tenter leur chance aujourd'hui au WPT Grand Prix de Paris. A raison de 10.000€ déboursés par personne, et en déduisant les taxes prélevées par l'administration fiscale, le prize pool atteint donc 2.347.795€.
Ce qui nous donne une première place à 633.902€ pour le vainqueur. Plus que pour l'édition de l'an passé - où Fabrizio Ricci avait décroché un peu plus de 400.000€ - mais sensiblement moins que ce à quoi s'attendaient les organisateurs. Beaucoup de stars attendues n'ont pas fait le déplacement de Paris.
Désastre pour Chuc Hoang, certainement très content de miser all-in avec sur le board mais Benjamin Pollak l'est encore plus avec pour un brelan supérieur.
La quatrième Roi ne sort pas river, qui est un et Pollack double à plus de 50.000.
L'on entend Eric Qu exprimer sa frustration en frappant la table à la fin d'une main où un pot de 35.000 est remporté par Micah Raskin. Qu paye sur la river, alors que le board est et n'aime certainement la Dame quand il voit chez son adversaire pour défaire ses . Il prononce quelques mots, se lève et se rassois rapidement sous la colère. Il tombe à environ 10.000 alors Raskin ramasse un très joli pot.
Nous sommes à Paris, c'est un fait, mais rares sont les tournois du World Poker Tour où le nombre de joueurs 'locaux' est aussi important. Dans les salons de l'Aviation Club de France, il y a environ 85% de Français dans ce Jour 2, dont les meilleurs joueurs du pays comme Bertrand 'ElkY' Grospellier, Antony Lelouche ou Ludovic Lacay. Sans oublier les stars Patrick Bruel, ou encore les récents champions comme Christophe Benzimra.
Avec un tel contingent il parait impossible que le titre échappe à un joueur tricolore, mais que ce soit ici-même au dernier Rendez-vous de Paris en 2009 (victoire du seul étranger en finale Fabrizio Ricci) ou par exemple lors de l'EPT Deauville 2009 (cinq français finalistes, un Allemand victorieux) nous avons pu constater qu'en la matière malheureusement, impossible n'est pas français!
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, Kastle checke, Davidi envoie 1.850 et son adversaire ne tergiverse pas longtemps : Il envoie 6.850, une mise suffisante pour mettre Davidi à tapis. Ce dernier paie bien entendu.
. La logique des cartes est respectée sur le turn et la rivière, qui affichent des briques, et Kitai repasse au-dessus des 15.000. On respire mieux avec 100 blindes.
avec 
dans les mains e son adversaire.
. Nielsen mise alors 2,200 sur le 
river mais Karmazinas décide alors de sur-relancer à 8,000.
avant de les jeter. Karmazinas plaisante en criant : "Je suis à nouveau chipleader !"
et entraine une routine similaire. Check de la québécoise, 1.500 par le bouton et Mercier égalise. Le turn apporte une doublette du Dix et la joueuse BetClic 'check-calle' cette fois une mise à 2.500. Mais les choses se gâtent sur le 
de la rivière, où elle fait face à une mise de 5.000. Isabelle paie pourtant assez rapidement, semblant exclure un As-Dix, les Rois ou les As de la range de son adversaire. Bien vu : ce sont les Valets qu'il retourne.
mais Benjamin Pollak l'est encore plus avec 
pour un brelan supérieur.
et Pollack double à plus de 50.000.
. Il prononce quelques mots, se lève et se rassois rapidement sous la colère. Il tombe à environ 10.000 alors Raskin ramasse un très joli pot.
