Sur un tableau qui oppose deux joueurs, Iulian Iacob mise, Fabrice Touil relance, l'autre lui revient dessus à tapîs et le français paie. Il est couvert et joue son tournoi sur ce coup.
Iacob:
Tuil:
Iacob retourne une paire d'As servie qui lui fait quinte et Touil montre à son tour un légèrement favori puisqu'il rajoute à sa propre quinte un tirage couleur à pique.
La rivière apporte un et Touil repasse devant en hurlant : "Eh beh quand même !!!" Comme si le destin venait de réparer une grande injustice. Il pointe désormais à 490.000 jetons. Le pauvre Iacob redescend en enfer avec tout juste 105 000 jetons.
Oliver Chaignard vient de doubler contre Steven Van Zandelhoff avec qui tient face à sur le board .
Sur la Table 6, Antony Lellouche ouvre 5,500 et Arnaud Esquevin suit. Mickael Guenni squeeze all-in pour un total de 50,000. Lellouche fold mais Esquevin trouve un call.
Esquevin:
Guenni:
Board:
Lellouche semble particulièrement déçu d'avoir jeté mais Guenni est lui ravi de doubler à environ 100,000.
Fabrice Tuil attaque pour 15,500 sur le flop et Quinn Sivage décide suivre et check le sur la turn. Tuil mise alors 35,000 sur la river et Sivage passe.
Tuil montre pour un bluff, même s'il est possible qu'il ait eu la meilleure main.
A une place de la bulle, chaque joueur all-in est soumis à une tension particulière. C'est la cas de Stuart Rutter qui est à un poil de l'élimination quand il touche une river miraculeuse, qui lui permet de retrouver un stack de 130.000.
Rutter sur-relance préflop pour 42.000 par dessus la mise à 8000 de Theo Jorgensen. De small blind, Fabrice Tuil crée la surprise en demandant le compte des jetons et décide de call. En big blind Ilan Boujenah semble hésiter à jouer mais avait juste oublier qu'il avait encore des cartes.
Jorgensen fait mine d'envoyer tout son tapis au centre, mais finit par seulement suivre. Rutter demande au Floor s'il peut d'ores et déjà quitter le tournoi, mais on lui demande de rester et de regarder ce qui arrive.
Le flop est , après que Tuil eut checké «in the dark» (sans voir ses cartes). "Je ne peux pas te promettre d'en faire autant" dit Jorgensen dit d'une voix inquiétante et il mise 50.000. Assez pour faire passer Tuil et on voit les cartes :
Rutter:
Jorgensen:
Le turn... . La river:
"Yes!" crie Rutter en voyant que son Valet complète la suite sur le board. Il double et évite de peu l'élimination à une place de la bulle.
Avec 45.000 jetons restants, Eric Sadoun doit prendre des risques. Il essaie donc de voler les blindes en partant à tapis mais tombe sur Guillaume de la Gorce, qui le paie avec .
Sadoun retourne ses en disant : "Au revoir, Messieurs". Seul un Huit ou trois trèfles peuvent à présent le sauver.
Le tableau se montre intraitable et Sadoun nous quitte. Il ne reste plus que deux joueurs à éliminer avant de mettre un terme à la journée.
Iulian Iacob a commencé la journée avec le second tapis, mais il sort une place avant la bulle en misant all-in avec mais trouve Steven Van Zadelhoff qui a un prix acceptable pour suivre avec .
Le flop est mais le turn ouvre un tas de tirages possibles. Van Zadelhoff touche la suite et la couleur avec la river. Il reste plus que 28 joueurs.
Un des joueurs restants repartira les mains vides, les autres seront assurés de gagner au moins €11,740.
Alex Kravchenko prend un pot à l'ex-chipleader Antoine Amourette. Préflop, c'est une bataille de relance entre la small blind et le big blind. Amourette ouvre les hostilités avec une mise de 8000, Kravchenko relance à 23,200. Retour à Amourette qui tente de faire une mise à un montant mal défini qui s'avère être à peine supérieur à la relance minimale, soit 46,600 au total. Kravchenko envoie aussitôt all-in pour 119,400 de plus. Après un instant de réflexion, Amourette abandonne le pot. Kravchenko retourne un .