Randall Amiel a un requin et un âne qu'il utilise pour protéger ses cartes. Un autre joueur à la table a un lapin ; "tout ce dont tu as beson c'est d'un poisson" lui dit Amiel qui en est déjà à 115,000.
Crispin Leyser mise 1,400, un adversaire va à tapis pour 5,000 de mieux, Leyser paye et montre 8-8 tandis que son adversaire a A-J. Un J tombe au turn ce qui endommage quelque peu le tapis de Leyser.
Immédiatement après Michael Mizrachi relance à 1,200, Leyser sur-relance à 13,300. Tilt?
Flop : , Mizrachi check, Leyser mise 5,000, Mizrachi se couche et Leyser remonte à 27,500.
Mark Vos a pris un coup sur deux mains consécutives. Dans la première il relance en position intermédiaire à ,1.300, il est sur-relance à 7,400 par la grosse blind, Vos envoie alors 20,300, la grosse blind sur-relance à 47,400, Vos réfléchi puis jette ses cartes. La grosse blind jette également et Vos demande "montre moi", son adversaire retourne l'.
Sur la main suivante Vos suit un adversaire à tapis de 14,100 en position haute. Vos possède mais son adversaire retourne .
Le tableau est Vos perd le coup.
Le mot "incroyable" et ses synonymes peuvent souvent être entendus par les bouches de joueurs ayant été éliminés tôt dans le tournoi. Le nombre énorme de tables et donc de joueurs favorise la multiplication d'histoires au sujet de bad beat.
C'est ce qui est arrivé avec un joueur amateur que nous appellerons Joueur A (paire d'As), Joueur B (malchanceux), et Joueur C (n'aurait pas pu être plus heureux). "J'avais une paire d'As..." , c'est probablement la phase la plus commune lorsque l'on aborde les histoires de bad beats.
These were the players' hands:
J A:
J B:
J C:
Flop : , inutile de dire qu'il y a eu de l'action !
J A mise, J C va à tapis, J B suit avec son brelan de 10, J A va à tapis, J B paye.
Vous suivez toujours ? d'accord, après que les joueurs ait retourné leurs cartes on a pu entendre des "oooh" de la part bien évidemment des joueurs mais aussi des spectateurs.
Turn : , J C continue de dire "j'ai tous les outs dans le paquet !"
River : , ce qui donne la quinte à J C ainsi qu'un joli pot.
Une chose est sûre, les World Series of Poker ne sont pas pour les cardiaques.
La table télévisée d'ESPN incluait Doyle Brunson avant qu'il ne soit éliminé, elle est désormais fermée et nous assistons à une autre table, sans lumières ni caméras.
Cette table a commencé avec Marcel Luske, mais qui a été sorti tôt dans la journée. Un de nos bloggers à Pokernews a un bon ami, Steve Liebentha, qui s'est retrouvé à la table, aux côtés de Victor Ramdin, et comme si les choses n'étaient pas assez dures David "Devilfish" Ulliott s'est joint à la fête.
Depuis, Liebentha est passée de 19,000 à 5,000, Devilfish est à 2,600. Quand on vous dit une table difficile !
Ray Romano limp au cutoff, la petite blind suit, la grosse blind check.
Flop : les blinds check, Romano mise, la petite blind suit, la grosse blind se couche.
Turn : la petite blind check, Romano mise, il est suivi.
River : la petite blind check, Romano va à tapis pour 15,000.
"Tu me montre se je me couche ?" demande son adversare, "oui je te montrerai" lui répond Romano, "tu ne vas pas m'aimer".
La petite blind se couche en montrant le , Romano retourne pour le bluff, il est désormais à 21,000.