Un signe qui montre que vous êtes probablement battu: après qu'un adversaire a relancé à 12,000 et que vous avez relancé à 26,000 pour le mettre à tapis, un autre joueur entre vous deux fait lui-même tapis pour 56,000 ET le relanceur initial paie ! C'est souvent un bon spot pour coucher . Avi Cohen, lui, décide de suivre et se retrouve face à et . Personne n'améliore et les As de Jani Vilmunen remportent le pot principal et le pot résiduel, faisant par là-même sauter John Shipley et mordant sérieusement sur le stack de Cohen, qui n'a plus que 83,000 jetons.
Nous jouons depuis un peu plus de trois heures maintenant dans cette deuxième journée du tournoi et l'action est trépidante. Plusieurs fois par minute on entend une voix de croupier hurler "All in and call!" ou "Seat open!" Nous avons perdu 340 joueurs depuis le "shuffle up" introductif, soit une moyenne de 100 éliminations par heure. Si cette tendance se confirme, et il n'y a pas de raison de penser le contraire, la moitié des joueurs aura sauté au moment de la pause-dîner, dans environ trois heures.
Patrik Antonius (from Day 1b)
Cinq limpers assistent à un lever de flop : . Gaetano Buda mise 2,400, Patrik Antonius paie et les autres se couchent. Le turn est un . Cette fois, Buda checke, Antonius mise 3,500, Buda check-raise à 10,500, et Antonius suit.
La rivière clôt le tableau avec un . Buda checke, et Antonius fait tapis pour 16,500. "Je m'étais pourtant promis de ne pas m'embarquer dans une main contre toi," dit Buda en réservant sa décision. Bien sûr, ce n'est pourtant pas la première main de la journée dans laquelle il se retrouve à batailler avec le finnois volant.
Buda paie finalement. Antonius montre qui lui donne un full, et Buda se couche. Antonius double à 64,000 sur ce coup-là.
Peu de temps après, Antonius remporte un autre joli pot à l'abattage et, après s'être battu toute la journée, Antonius est de retour à 90,000.
Adam Friedman appelle le floor au sujet d'un joueur qui vient de sortir un équipement électronique qui ressemble à un téléphone portable. Friedman voulait que la main du joueur soit déclarée morte parce qu'il pensait que le joueur en question était en train d'utiliser son téléphone.
Le floor arrive donc et se rend compte qu'en fait de téléphone portable, il s'agit d'un iPod qui lui sert uniquement à écouter de la musique. Les joueurs de la table rigolent encore de l'erreur de Friedman.
Barry Greenstein fait tapis avec ses 6,050 derniers jetons au bouton et Richard Burns suit depuis le small blind.
Burns montre , tandis que "the Bear" retourne . Le tableau dévoile , et Greenstein remporte quelques jetons ainsi que les applaudissements nourris du public.
Ray Romano utilise aujourd'hui une pièce de monnaie en guise de protecteur de cartes. Il ya quelques mains, en jouant avec, il a réussi à la casser.
Apparemment, ça a attiré le mauvais sort sur Romano (comme s'il avait brisé un miroir). on lui distribue et il relance à 6,000 après que Christopher Bonita ait sur-relancé à 1,700. Bonita suit, puis checke sur le flop . Romano mise 10,000. Bonita fait tapis pour environ 25,000 et Romano paie rapidement. Il n'est pas favori; Ses Rois se retrouvent face aux de Bonita. Personne n'améliore, ni sur le turn ni sur la rivière.
Donald Norton relance à 1,600 en milieu de parole. Stefan Mattsson, qui a fait partie de nos chipleaders aujourd'hui avec plus de 150,000, sur-relance à 4,600 depuis le cutoff.
Chris Chambers sur-relance encore à 16,000 au small blind. Norton décide que trop c'est trop et pousse tout son tapis au milieu : 85,000. Mattsson et Chambers se couchent.