Sebastien Le Tual a vu son stack fondre en partie avant le dinner break et le voilà qui envoie ses derniers 112.000 contre Skander Dilmi sur un flop , instantanément payé par ce dernier :
Dilmi :
Le Tual :
Le Tual peut espérer améliorer avec une couleur supérieure sauf si un sort, synonyme de quinte flush pour Dilmi. Le turn est un qui ne change rien mais la river donne un full runner-runner à Le Tual trop heureux de doubler tandis que Dilmi voit son tapis coupé en deux.
Kalidou Sow a perdu un gros pile ou face contre Philippe Benichou qui lui coûte sa survie dans le tournoi.
Greg Ravise nous raconte Benichou relance à 15.000, gros 3-bet de Sow pour 52.000 et Benichou fait tapis avec , suivi par Sow avec , ce dernier voyant tomber au turn un synonyme de sortie.
Nous connaissons enfin le nom du bubble boy officiel de ce tournoi 400€, 90.000€ garantis, du Cercle Cadet. Il s'agit de Morgan Aguilera qui sera donc le dernier joueur à quitter le tournoi les poches vides.
Nous arrivons à la table alors que le flop vient d'être dévoilé : .
Morgan Aguilera va finir par partir à tapis face à Adel Ben Messaoud qui le couvre.
Morgan :
Adel :
Rien ne viendra sauver Morgan qui apporte un soulagement général à tous les joueurs restants qui n'ont plus qu'un objectif : la victoire et le premier prix de 34.000€.
Tout démarre par une relance à 10.500 d'Aldric Loiodice en début de parole, payé par un joueur en position intermediaire. Thi Xoa Nguyen place alors un 3-bet pour 35.000. La parole revient à Aldric qui décide d'envoyer la totalité de son tapis pour 123.000. Le premier joueur se couche mais Thi Xoa décide de payer après un petit temps de reflexion.
Thi Xoa :
Aldric :
Tableau :
Pas de mauvaise surprise pour Thi Xoa qui élimine un adversaire dangereux et grimpe par la même occasion à 350.000.
Le plus gros pot du tournoi vient de se jouer entre Luc Tomassi et Najib Goual sur une confrontation à tapis preflop pour un pot qui avoisinne les 400.000 jetons.
Najib Goual :
Luc Tomassi :
Tableau :
Luc Tomassi remporte cet énorme pot et se retrouve dans le top 3 du tournoi à l'approche de la bulle des places payées.
Mohamed Mokrani maintient son tapis au sommet du tournoi depuis le début de ce Jour 2 et quand les "skills" ne suffisent plus il reste parfois un petit brin de réussite pour gagner quand même.
Avec en main il paie un tapis adverse contre sur un flop , il touche et en fin de tableau pour une couleur runner-runner pour éliminer son adversaire.
Alors qu'il ne reste que 70 joueurs pour 48 payés, rappelons le prizepool officiel afin de motiver les survivants : avec 480 joueurs sur la ligne de départ, ce sont 173.262€ qui seront partagés avec un 'min cash' à 962€ et surtout un premier prix de 34.000€.
Les neuf finalistes repartiront quant à eux avec un ticket d'une valeur de 1.100€ pour le France Poker Series Paris qui se déroulera au Cercle Cadet dans le courant du mois de Novembre.
Avec près de 40% d'éliminés sur les 118 joueurs au départ de ce Jour 2, la chasse aux gros stacks est lancée alors que la bulle approche à l'horizon...
Sur la dernière main de la pause, Adel Ben Messaoud a pris un dernier petit pot mais il a abandonné le fauteuil de chipleader qui ne cesse de changer de propriétaire depuis quelques niveaux.
Avec plus de 250.000 jetons devant lui, Najib Goual s'est mis en position de passer chipleader en étant ultra favori contre Luc Tomassi.
Goual mise 12.000 sur le turn d'un board depuis le hijack mais Tomassi décide de check/raise à tapis pour 67.100 au total. Insta-call de Goual et les jeux sont retournés :
Goual :
Tomassi :
Le croupier tire la river ... ! Brelan inespéré pour Tomassi qui sauve sa peau et coûte le fauteuil de chipleader à son adversaire. Il n'avait pourtant qu'un peu plus de 11% de chances de remporter ce coup !
Retombé à moins d'une big blind, Julien Sitbon enverra le reste de son tapis avec face à deux joueurs.
Une fois que le croupier a retourné la turn sur un tableau , un des joueurs mise pour se retrouver en head's up face à Julien. Il retourne mettant le tournoi de Julien en danger.
La rivière n'aidera pas ce dernier qui nous quitte.