Mais ça n'a pas été une décision facile apparemment, puisqu'il a du faire faux bond pour la première fois en 20 ans à sa partie privée de Manchester afin d'être présent aujourd'hui. Sa table ne pouvait pas être plus difficile mais, si l'on en juge par une autre vide juste à côté, ce pourrait aussi être l'une des prochaines à casser.
2009 PokerStars.com EPT Grand Final - Monte Carlo
€10,000 EPT Grand Final Main Event
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Mais ça n'a pas été une décision facile apparemment, puisqu'il a du faire faux bond pour la première fois en 20 ans à sa partie privée de Manchester afin d'être présent aujourd'hui. Sa table ne pouvait pas être plus difficile mais, si l'on en juge par une autre vide juste à côté, ce pourrait aussi être l'une des prochaines à casser.
Juste au moment où la conversation devenait intéressante, voilà Ivey qui part à tapis à la table derrière et qui est suivi par le jeune hollandais Martijn Schirp.
Ivey:
Schirp:
Board:
Les deux joueurs se serrent la main et et Ivey fait mine de partir, puis se ravise pour venir récupérer son téléphone.
Niveau: 4
Blinds: 150/300
Ante: 0
. Antonius suit calmement.Lorsque le
tombe au turn, l'adversaire d'Antonius checke rapidement. Antonius apparaît en comparaison d'un calme olympien. Jouant pensivement avec une pile de jetons, il ne laisse absolument rien transpirer pendant dix ou quinze secondes. Il se met ensuite à rassembler une mise de 2.100 et la place tranquillement au milieu de la table. Son adversaire envoie ses cartes à la défausse.Antonius est peut-être arrivé en retard, son tirage n'a pas été facile, mais il semble s'acclimater rapidement. Nous allons suivre avec attention son entreprise d'accumulation de jetons avant que la table ne casse.
"Euh, je suis pas sûr que le compte de Channing soit aussi bien approvisionné qu'avant" lui répond le 'raibird'.
"Non, mais il faut quand même qu'il me file de l'argent" continue Kabbaj, "parce que ces parties sont beaucoup plus chères que prévu.."
, il laisse son jeune adversaire miser 6.000 et min-raise à 12.000. Le jeunot suit.Arrive le
à la rivière, Lawson mise 15.000; Avec un soupir, son adversaire suit une fois encore et s'étrangle à moitié en voyant Lawson retourner
pour la couleur max touchée au flop. Le pauvre garçon montre une paire de Dix et Lawson grimpe à presque 90.000.
, Solomon se contente de suivre les 1.600 que mise la personne que nous soupçonnons d'être à l'origine de la relance pré-flop (une présomption qui se base sur le fait qu'il a plus tard admis que sa main de départ était As-Roi). Il y a un autre joueur dans ce coup, le small blind, qui a checké le flop et qui part tout d'un coup à tapis pour 40,000. Le relanceur initial se couche."I call," s'exclame Solomon. "Mais je sais qu'il a un gros tirage."
Et bien, en fait, c'est pas ça du tout. L'adversaire de Solomon montre deux paires avec
. Ses chances sont maigres face au brelan de Huit de Solomon, qui retourne
. Le board
and
est sans danger pour Solomon, qui décolle à 60.000 jetons.
Après avoir misé 15.000 sur la rivière du tableau
, Nelson est tout d'abord suivi puis laissé libre de ramasser le pot après avoir révélé
. Ca doit bien lui faire dans les 91.000 jetons, à l'Amiral.
, Luca Pagano s'adjuge le pot grâce à un gros bluff et un pâle
. "Il n'était pas du tout impossible que tu aies les deux Valets" avance Greg Raymer. "Je pensais que tu avais un Full aux Neufs," renchérit Mike McDonald. Tout le monde s'accorde sur le fait que Pagano a très bien joué la main et le voilà désormais avec un stack d'environ 70.000.