Patrice Garrigues a été éliminé, il nous retrace son parcours.
"Je suis shortstack, je met all-in avec , je suis payé par et je ne touche rien. C'est une très bonne expérience pour moi. Je me suis qualifié dans un freeroll de 300 joueurs après 6 heures de jeu, j'ai gagné mon package de 2.500€
C'était la première fois que je jouais en argent réel, j'avais ouvert un compte sur Unibet.fr deux jours auparavant. Sinon, je jouais en argent fictif. C'est donc mon premier tournoi live. Ca n'a rien à voir avec internet où ça joue n'importe comment. Là les joueurs sont sérieux, c'est beaucoup plus intéressant.
En tant que futur retraité, je vais avoir le temps de jouer en ligne. Si on peut recommencer .... Pour moi, c'est une super expérience, même si je perds. Avoir passé le Jour 1, c'est que du bonus. Cela m'a permis de faire des rencontres et de me lier d'amitiés, on restera en contact.
Steven Moreau alias 'Gloub' ne rééditera pas ses deep runs des WSOP Europe (14ème) ou du WPT Dublin (6ème). Son parcours dans cet Unibet Open Paris s'arrête dans ce Jour 2 : "je suis en petite blind et il ne me reste que 10BB" nous explique-t-il, "je pousse 3-7 de carreau et la joueuse en BB se réveille avec les Dames...".
Comme à chaque Unibet Open, la soirée Unibet Party a laissé des traces et plus d'un joueur s'est présenté au Jour 2 avec les traits tirés, certains ayant carrément apparemment oublié de se réveiller... Loin de nous l'idée de dénoncer qui que ce soit, mais accordons tout de même la palme de la fétarderie aux Suédois qui ont animé le carré VIP du club Showcase.
"Je n'habite nulle part" nous a confié le joueur russe Vladimir Geshkenbein. Résident en Suisse pendant quelques années, le champion EPT Snowfest en titre (peut être le dernier puisque le tournoi a été retiré du European Poker Tour) n'a pas de résidence officielle revient aussi de nulle part : descendu à 10.000 jetons au Jour 1B, le voici avec 300.000 jetons et donc probable chipleader du tournoi !
Le compte à rebours vers la table final a commencé avec pour la première fois dans cet Unibet Open Paris un nombre de joueurs à seulement deux chiffres.. Ils étaient encore une centaine au niveau précédent, ils ne sont plus que 96 à pouvoir prétendre aux 45 places payées et aux neuf places en finale.
"Mais qu'est ce qu'il fait là ??" se lamente le (presque) toujours jovial Giuseppe Zarbo en parlant de son adversaire qui vient de le sortir du tournoi. Ce dernier limp en milieu de parole et Zarbo le relance à 11.500 du bouton avec et tout juste 22.000 derrière.
Au flop les tapis s'envolent et Zarbo se voit opposé à... , sans grand espoir de rémission, la fin du tableau envoyant le franco-italien sur le rail.
"La photo est belle, mais le coup est horrible !" sourit Giuseppe en lisant ce post par dessus notre épaule !
Valentin Messina fait plus que défendre sa blind, il décide de 3-bet contre la relance à 5.000 en milieu de parole de Jaroslaw Barglik. Le champion France Poker Tour envoie gaillardement 12.500 jetons en gardant 44.000 sous le pied. Call rapide de Barglik.
Au flop , Messina continue pour 12.500 mais entend un "all in" dans la seconde suivante chez son adversaire, et jette instantanément sa main. 'Valvegas' redescend ainsi à 31.000 jetons soit une douzaine de blind.
Louis Dominique Pradelle, qui avait gagné son ticket pour l'Unibet Open en terminant 5ème du "K-Day" à 400€ au Cercle Cadet, vient d'éliminer Valentin Messina. Il nous raconte le coup :
Je suis en big blind quand Valentin Messina au hijack relance à 5.500$. Je ne regarde qu'une seule carte et je découvre un . Je décide 3-bet à 13.500 car il peut tenter de voler avec pas mal de mains. Il met all-in, je regarde ma deuxième cartes et c'est un autre ... facile à payer. Il retourne te le flop est AX5XQXTXXX].
Après cette main, Louis Dominique Pradelle monte à 110.000 jetons tandis que Valentin Messina est éliminé.
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, je suis payé par 
et je ne touche rien. C'est une très bonne expérience pour moi. Je me suis qualifié dans un freeroll de 300 joueurs après 6 heures de jeu, j'ai gagné mon package de 2.500€
et tout juste 22.000 derrière.
les tapis s'envolent et Zarbo se voit opposé à... 
, sans grand espoir de rémission, la fin du tableau envoyant le franco-italien sur le rail.
... facile à payer. Il retourne 